La semaine dernière, l’Armée populaire de libération (Chine) mettait en valeur le rôle des femmes dans la première unité, uniquement féminine, de forces spéciales chinoises. L’armée les estime aussi efficaces que les SAS britanniques, les Spetsnaz russes ou les Bérets Verts américains.

Cette « unité d’élite de reconnaissance », présentée comme une « première mondiale » est formée de recrues nées dans les années 1990, originaires de douze provinces, et pour la plupart diplômées d’université. Elles suivent, durant un an et demi, un entraînement très spécial (maniement d’armes de poing, d’explosifs, parachutage, combat sous-marin).

En fait, dès 2012, une unité spéciale féminine avait été présentée à Hong-Kong. Puis l’année suivante a été formée la première compagnie de la Brigade des opérations spéciales du 38e groupe d’armée, présentée dans les médias, la semaine dernière, lors de missions parachutées.

Récemment, au cours d’exercices antiterroristes internationaux en Mongolie intérieure (dans le cadre de la Shanghai Cooperation Organisation), un officier avait présenté l’avantage qu’il y a à former ces femmes : « Elles sont particulièrement efficaces dans les négociations lors de prises d’otages et les infiltrations chez l’ennemi… »

 

http://www.military.com/video/forces/special-forces/chinas-female-special-forces-unit/2310416452001

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