« Il est temps de mettre fin à la période de marginalisation et celle du déni de soi. Ce projet est né pour faire un éclairage sur notre belle civilisation à laquelle le cinéma n’a jamais rendu hommage, contrairement aux autres civilisations. »

C’est en présence du ministre de la Culture Ghattas Khoury, de celui du Tourisme Avédis Guidanian et d’autres personnalités, comme l’ambassadeur de Tunisie Karim Boudali, que le ministre de l’Information Melhem Riachi a lancé le projet cinématographique Elissa-fille d’Europe et reine de Tyr et de Carthage.
« Je suis fier de lancer ce projet cinématographique, qui parle du Liban message et pont entre toutes les civilisations, a déclaré Melhem Riachi. Je remercie la productrice Lamis Schoucair d’avoir entrepris un tel projet qui révèle l’histoire de cette reine qui a porté la civilisation de nos ancêtres vers d’autres rivages. Je tiens aussi à remercier la Tunisie, partenaire du Liban dans ce projet ambitieux. Lamis Schoucair a aujourd’hui un grand défi à relever. Nous sommes responsables du soutien qu’on peut lui procurer. » Quant à Ghattas Khoury , il a souhaité que « le Liban revive cette belle époque où les valeurs étaient respectées et où la femme occupait un rôle prépondérant dans la société ». Enfin, après diverses autres interventions dans la salle du ministère de l’Information, où se tenait la conférence, la productrice Lamis Schoucair a pris la parole pour dire : « Il est temps de mettre fin à la période de marginalisation et celle du déni de soi. Ce projet est né pour faire un éclairage sur notre belle civilisation à laquelle le cinéma n’a jamais rendu hommage, contrairement aux autres civilisations. »

 

Source :  « L’Orient Le Jour »

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